Une parenthèse, certes, mais une parenthèse enchantée. Dans la carrière pléthorique de Quincy Jones (surnommé Q), la composition pour l’écran ne dure qu’une petite dizaine d’années (1964-1972), suivie par quelques retours sporadiques. Une période courte et d’une grande richesse enfin explorée dans un livre qui vient de paraître, signé Gérard Dastugue, aux Éditions universitaires de…