On parle rarement de la mise en scène chez James Cameron, on a plutôt tendance à évoquer en largeur les effets spéciaux de ses films, son goût pour le spectaculaire, ainsi que sa fascination pour les machines. Merci donc à Rafik Djoumi, dans son excellente émission Déjà vu, de se pencher sur ce qui constitue sa méthode de réalisation. On y parle de steadicam, de montage, d’emprunts à d’autres cinéastes, de John Ford et d’implication du spectateur dans l’action. Instructif.
Suivre et partager :